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C'est la volonté actuelle de Dieu :

"Unifier toutes les églises en une seule et unique"

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LA CRÉATION DE L'UNIVERS SELON LA BIBLE. GENÈSE: UNE INTRODUCTION À LA COSMOLOGIE DU 21E SIÈCLE.

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VIE ET HISTOIRE DU SEIGNEUR DIEU YAHVÉ

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LE SACRÉ COEUR DE NOTRE-DAME MARIE DE NAZARET

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CONSEIL VATICAN DU 21E SIÈCLE. CONSEIL UNIVERSEL D'ADORATION DE JÉSUS CHRIST

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MAGNA CARTA DES DROITS DIVINS DE L'HOMME

 

 

Déclaration de principes

 

 

Avant le Concile de Nicée, tenu en 325 après J.-C., Concile au cours duquel l'Eglise catholique adopta le titre de romaine en réponse à l'arianisme, titre dans lequel le protestantisme ne voulut voir que l'ubiquité du successeur de Saint Pierre, opérant ainsi le protestantisme à la manière d'une religion sectaire, exigeant une rupture schizoïde, irréversible et incontestable avec la Mémoire Historique de la Nation, une exigence que l'Histoire universelle a vu consommée dans le processus d'expansion de l'Islam, dont la conversion a déterminé la diabolisation de tout le passé des peuples soumis au fer et au feu du Coran, et parce qu'il était nécessaire pour le catholicisme jésuitique d'ériger une barrière visible entre l'Eglise apostolique et cet arianisme qui niait le dogme de la Trinité, par conséquent la Divinité du FILS ; jusqu'à l'avènement dudit Concile Universel de 325 après Jésus-Christ. C. La déclaration de foi, confessée sous peine de mort par toutes les églises, peut se résumer dans les mots suivants :

« YAVÉH DIEU est le Seigneur des armées des Saintes Écritures des Hébreux, le Dieu des dieux du Patriarche Abraham, du Prophète Moïse et du Roi David :

 YAVÉH DIEU est le PÈRE de JÉSUS-CHRIST, l'auteur intellectuel de la Bible et le Père de l'Église catholique romaine :

de sorte que celui qui ne croit pas en l'Église catholique romaine ne croit pas en Jésus-Christ, son Époux et Seigneur, et celui qui ne croit pas en Jésus-Christ ne croit pas en son Père, YAVÉH ».

Cette confession sépare la vie de la mort. Celui qui croit, même s'il meurt, vivra éternellement ; celui qui ne croit pas sera jugé par celui en qui il n'a pas cru.

Par le sang du troupeau de Dieu, cette confession a été scellée devant l'Histoire universelle pour celui qui voit, par le témoignage des Apôtres et des Saints : croire.

Ainsi, par la Révélation, non par la Raison ; par la Sagesse, non par la Science ; par les Faits, non par les philosophies, nous découvrons que  YAVÉH DIEU est PÈRE; son FILS Premier-né s'appelle JÉSUS-CHRIST. Et c'est de ce FILS qu'il a été écrit dans le sang :

« Dieu de Dieu, engendré de la nature incréée de Dieu ; Toi, Dieu, Fils unique de  YAVÉH DIEU LE PÈRE ».

C'est ce Fils Unique-Premier-Né de Dieu qui s'est fait homme, et qui est né à Bethléem de Juda sous l'empire du César Octave Auguste, à la fin du règne d'Hérode Ben Antipater, dans la première année du Siècle du Christ.

Ce JESUS, Fils unique de Dieu, est venu dans le monde pour acheter notre salut et notre rédemption au prix du sang du CHRIST.

Ce Rédempteur, alors qu'il était dans le monde, nous a dévoilé l'Homme qu'au commencement Dieu avait créé à son image et à sa ressemblance. Cet homme, c'est le Christ. Et cet Homme est en nous.

Cet Homme est celui qui confesse, avec un cœur débordant d'éternité et un esprit ouvert à l'infini, que le Premier-né de Dieu, Jésus, le Christ, est le Modèle éternel à l'Image et à la Ressemblance duquel Dieu a créé l'Homme.

Ce Jésus qui est venu dans le monde pour nous offrir la vie éternelle, ce Jésus est le Fils unique de Dieu, incréé, incréé, le commencement et la fin de la Création, l'alpha et l'oméga de l'activité divine, le premier et le dernier de sa Nature : Dieu le Fils unique, notre Roi et notre Seigneur, notre Maître et notre Sauveur.

C'est sur cette Foi que s'accomplit la Parole de Dieu qui dit : « Le Juste vivra par la Foi ».

Cette confession simple et élémentaire, cette déclaration de foi élémentaire et simple, tout comme elle coûte encore aujourd'hui la vie à beaucoup d'hommes et de femmes, hier, avant Nicée, elle signifiait la mort.

Nous, aujourd'hui, quelle que soit la réaction de ceux qui l'entendent ou l'écoutent, nous continuons à confesser la Déclaration universelle que toute la Création confesse avec la bouche et vit avec le cœur :

 

Article premier : Dieu est Amour

 

Dieu, volontairement et librement, mû par l'Amour pour son Fils, a transformé sa Création en un Royaume universel unique et éternel, dont la Couronne réside dans la Tête du Fils, qui est le Père, par lequel le Trône de son Fils devient Omnipotent, Tout-Puissant et Omniscient, Gloire à laquelle participent ceux qui ont hérité avec LUI du Royaume de DIEU YAVE, Créateur du Ciel et de la Terre, de toutes les choses visibles et invisibles, Créateur de la Lumière et des Ténèbres qui couvrent l'Abîme.

Cet Esprit qui vit dans le PÈRE et dans le FIL s'est incarné, s'est fait homme, est descendu du FIL sous la forme de langues de feu et a engendré l'Esprit Saint un Corps de Gloire : pour le Bien et le Salut de la plénitude des Nations de Sa Création. Ce Corps Saint, cohéritier du Royaume de Dieu, dont la Tête est le FILS, a été engendré par le DIEU  YAVÉH pour être pour l'Eternité présent au milieu des peuples qui remplissent son Paradis, pour garder à jamais vivante la Vérité, et pour être le Jardinier qui cultive le sol de son Seigneur en rendant impossible une repousse de la Semence de la Science du Bien et du Mal, car devant l'Esprit de Dieu rien ne peut être caché ou rester caché.

En effet, aucune force autre que l'Amour de la Vie n'est à l'origine de l'impulsion qui a conduit Dieu à créer ce Royaume éternel, un espace où la plénitude des nations de la Création partagent la même Vie et se rapportent à leur Créateur à la lumière de sa Sagesse infinie.

La doctrine protestante calviniste assimilant le Dieu  YAVÉH à un être tout-puissant dirigeant à sa guise la science du Bien et du Mal est, comme l'arianisme en son temps, une négation de la Théologie Jésus-Chrétienne des Pères du Concile de Nicée, et par conséquent l'ennemi de l'Esprit Saint qui, par la bouche de ses enfants, a dit : "Dieu est Amour".

Car quoi de plus contraire à l'Amour de la Vie qu'un Dieu mauvais qui crée des mondes dans le seul but de passer l'Eternité à tuer le temps dans le jeu apocalyptique du Salut ? Le calvinisme protestant, fondant sa défense sur l'impossibilité pour une créature de s'opposer au dessein de son Créateur, a absous le Diable d'être le maître d'œuvre de la Chute.

 

Article 2 : Dieu est Père

 

La Sagesse de Dieu le Père est la source d'où émane la Constitution du Royaume de son Fils, Constitution par laquelle sont gouvernées toutes les Civilisations des Peuples de la Création et s'articule la Plénitude de leurs Nations.

Cette Constitution Universelle a son Origine et son Principe dans la Paternité Divine. De cette Paternité et par elle, Dieu légifère de Son Omniscience et juge de Sa Prescience, la Vérité étant le commencement, le moyen et la fin de Son action.

Enfants de Dieu, Citoyens de Son Royaume, nous courons spontanément vers Lui et nous nous jetons dans Ses bras en criant de tout notre être : Notre Père ! Et parce que tous les Citoyens du Royaume du Fils de Dieu partagent cette Filiation, l'esprit de Fraternité régit les relations entre tous les peuples et nations vivant dans SON Royaume.

C'est par cet Esprit de Fraternité Universelle que naissent les Lois, les Droits et les Devoirs de tous les Citoyens du Royaume de Dieu, car l'Amour de cet esprit, unit toute Vie créée à l'Image et à la ressemblance des enfants de Dieu en une Famille Universelle, dans laquelle chaque Peuple est une Branche de l'Arbre de Vie. La Justice, la Paix, la Liberté sont les fruits de cet Arbre Divin.

 

Article trois :  YAVÉH est DIEU

 

 YAVÉH est le nom de l'Être Divin qui a créé le champ de galaxies et l'océan d'étoiles de l'Univers. Il est le Créateur du Cosmos et de tout ce qui existe dans l'Univers. Il est la source d'où jaillit l'avenir de toutes choses, qui, par son Être, soutient et, par sa Parole, avance vers l'horizon qui ne sera jamais atteint et qui a son Orto dans l'Infini.

 YAVÉH est la source du fleuve de la Vie, c'est LUI qui maintient l'avenir de la plénitude des nations dans une croissance éternelle et joyeuse, et qui fait couler son flux dans l'océan de son Omniscience. Tout ce qui existe dans le Cosmos comme dans l'Univers a en LUI,  YAVÉH, PÈRE de JÉSUS-CHRIST : sa cause physique, la source d'énergie qui permet au Cosmos de croître pour l'Éternité. Et sans LUI, rien n'existerait.

C'est LUI,  YAVÉH DIEU, PÈRE de JÉSUS-CHRIST, qui a créé le BIG BANG qui a donné naissance au champ des galaxies, établissant un avant et un après, une fin et un commencement au sein du Cosmos incréé, son Univers d'origine. Tout ce qui existe, la Lumière comme les Ténèbres, existe parce qu'IL est le VRAI DIEU, Seigneur de l'Infini et de l'Eternité, Époux de la Sagesse Créatrice.

YAVE est le Nom de DIEU, PÈRE DU ROI : JÉSUS-CHRIST ; quiconque ne croit pas en son NOM ne connaîtra pas la Vie éternelle ; quiconque ne vit pas en  YAVÉH : CRÉATEUR DES CIEUX ET DE LA TERRE, vit dans le Mensonge et le Mensonge sera sa tombe.

 

Article quatre : Dieu est Seigneur

 

Par droit de création, tout appartient à  YAVÉH DIEU. Il a tous les droits de propriété sur l'ensemble de sa Création. Toutes les choses, celles du Cosmos comme celles de l'Univers, celles du Ciel comme celles de la Terre, lui appartiennent et il les gouverne de son infinie sagesse.

 YAVÉH DIEU a donné la Couronne de Son Royaume Universel à Son Fils unique JÉSUS-CHRIST, en qui, comme Il vit dans le Père : DIEU vit. Et ce JÉSUS-CHRIST DIEU LE FILS UNIQUE est le Roi de la Plénitude des Nations, qui les gouverne au Service de son PÈRE, et qui a un autre ROI que le FILS DE DIEU, ici sur la Terre comme au Ciel, se déclare en guerre contre DIEU, son PÈRE.

De même qu'au Ciel toute Couronne a été abolie, de même que dans l'Apocalypse il est écrit : TOI, JÉSUS-CHRIST, VÉRITABLE DIEU DU VÉRITABLE DIEU, de même sur la Terre tout trône sera aboli, et tous les genoux de l'Humanité fléchiront devant le ROI UNIVERSEL SEMPITERNEL JÉSUS-CHRIST ; ceux qui ne le feront pas seront rayés du Livre de Vie, tant au Ciel que sur la Terre.

 

Article 5 : Le Roi est le Fils Unique

 

Dieu a donné à sa création un ROI SEMPITERNEL UNIVERSEL unique, en qui vit l'Esprit du CREATEUR.

Le ROI a toute l'omniscience et tout le pouvoir en son PÈRE. Son Père est  YAVÉH DIEU.

Toutes les créatures de l'univers adorent le Père, et tous les citoyens de son royaume obéissent au Fils.

Le Roi est le Fils unique. Fils bien-aimé : il est la cause métaphysique de la création de Dieu.

En tant que Roi, il est le chef de toutes les armées du Royaume de Dieu, il est le bras de YAWEH, son Père. Il est le Prince des princes du Ciel, le Premier-né des fils de Dieu.

 

Article six : Le Seigneur des armées

 

 YAVÉH DIEU est le Seigneur des armées de son Royaume. A la tête de toutes les armées de la Plénitude des Nations de l'Univers, IL a placé son Premier-né, notre Roi, son Fils bien-aimé.

Toutes les armées de son Royaume obéissent uniquement et exclusivement à leur Roi universel éternel, et ne se déplacent qu'au commandement de sa voix.

Aucun pouvoir exécutif en dehors de Sa Couronne n'a le pouvoir de la guerre et de la paix.

Toutes les nations du Royaume de Dieu déposent leurs armées aux pieds du Roi, dont le Conseil a le pouvoir de guerre et de paix. Ce Conseil a dans le Père, Dieu  YAVÉH, son chef tout-puissant et omniscient.

Toutes les armées de l'ensemble des nations sont régies par cette loi d'obéissance au Conseil du Roi des Cieux. Aucun gouvernement n'a de pouvoir sur les armées de la nation à laquelle elles appartiennent. C'est au Roi, et à lui seul, que son Père, Dieu, a donné ce pouvoir. Son Fils, notre Roi, est son bras, le bras droit de  YAVÉH, le Seigneur des armées.

La plénitude des Nations de l'Humanité articulera la Paix Mondiale, avec elles-mêmes et avec les Nations des Peuples du Royaume de Dieu, selon cette Loi de l'Eternel.

Le Conseil des enfants de Dieu, de la Maison du Roi, aura sur Terre la Voix de son Père qui est aux Cieux. La Puissance qui s'élève contre la Maison des enfants de Dieu, en invoquant la division, contre la Fraternité Universelle, sur la base du Nationalisme, s'élève contre le Roi, devient l'Ennemi de Dieu : elle sera effacée du Livre de l'Histoire de l'Humanité.

 

Article sept : Le Souverain Pontife

 

Le ROI est l'Unique Pontife Suprême de la Plénitude des Nations. La plénitude des Nations de la Création n'a qu'une seule Religion, un seul Dieu et un seul Souverain Pontife, autour duquel tous les Peuples de l'Univers s'unissent pour adorer le Vrai Dieu, le Dieu  YAVÉH, le PÈRE, Créateur de toutes choses, du Ciel comme de la Terre, dont l'Esprit Saint anime tout et maintient tout dans une croissance saine et joyeuse.

Il est JÉSUS-CHRIST : Souverain Pontife universel et éternel. Il est l'unique être vivant qui se tient devant le Dieu de l'éternité et de l'infini. Son nom est JÉSUS-CHRIST ; par amour pour lui, son Père maintient toutes choses dans l'existence et la vie.

Celui qui n'aime pas le Fils de Dieu n'aime pas Dieu. Celui qui n'a pas la Religion du Fils de Dieu n'a pas de Religion. Cette Religion consiste dans l'Adoration de Dieu : PÈRE et FILS : Deux Personnes et un seul Esprit Divin : Saint, Inaltérable, Incorruptible.

Celui qui nie que cet Esprit Saint du Créateur vient du Père et du Fils, nie Dieu ; son sort sera celui des ennemis du Roi et de son Dieu.

Celui qui nie que le Fils est le Vrai Dieu, comme le confesse la Révélation catholique, nie la VÉRITÉ de Dieu le Père.

JÉSUS-CHRIST : Roi universel et Souverain Pontife éternel, il est le chef de toutes les créatures du Royaume de son Père. Sans lui, nous n'existons pas. Il est la Vigne, le Tronc de l'Arbre de Vie, d'où les Mondes jaillissent comme des Branches.

Son Père,  YAVÉH DIEU, est le VIGNERON, le Divin Jardinier qui cultive l'Arbre de Vie des Mondes, la Vie à l'Image et à la Ressemblance de Son Fils, par Amour de Qui nous sommes tous Adoptés comme fils et comme fils nous participons à tous les Droits Divins naturels aux fils de Dieu La Vie Eternelle nous appartient par Droit d'Adoption Véritable.

 

Article huit : L'Église

 

JÉSUS-CHRIST, Divin Souverain Pontife, est l'Unique Chef Suprême, et par Divin : Visible, de tous les Évêques et de tous les prêtres et pasteurs de la Plénitude des Nations. C'est à Lui seul que doivent une obéissance infinie et éternelle tous les évêques, les prêtres et les pasteurs qui, avec Lui et en Lui, forment un seul et unique Corps, sacré et éternel, l'Église.

Cette Eglise, Son Corps, l'Epouse du Christ, comme il est écrit dans la Révélation Divine, a pour Maison tout le Royaume de Dieu, et au milieu de la Plénitude des Nations elle garde vivante la Doctrine de l'Eternité et de l'Infini :  YAVÉH est le Vrai Dieu et le Père Eternel.

En JÉSUS-CHRIST, son Fils unique,  YAVÉH DIEU, son Père, a sa joie éternelle ; en son Droit d'aînesse, toute la Création a trouvé son bonheur parfait. Gloire au Père, Gloire au Fils, Deux Personnes, Une Divine, Esprit Saint, dont il est dit que DIEU EST AMOUR.

 

Article neuf : Dieu est Juge

 

Créateur et Fondateur du Royaume des Cieux, dont la Couronne LUI appartient et qu'IL partage en vie avec son Fils, car étant Dieu Il ne peut mourir, son Fils héritant en vie de la Couronne qui lui appartient par droit d'aînesse ; étant son Créateur et Fondateur, YAVE Dieu a réservé au Roi la Présidence de la Cour Suprême de Justice, dont la Juridiction comprend la Plénitude des Nations de son Royaume, remettant ainsi Dieu entre les mains du Roi le Pouvoir illimité de juger celui qui préside la Cour Suprême de Justice de son Royaume.

Comme le Fils a hérité dans la vie de la Couronne qu'il devait hériter après la mort du Père, le Père, étant Dieu, a ouvert son testament dans la vie pour que, dans la vie, étant le Fils de ses entrailles incréées, il puisse jouir de ce qu'il n'aurait jamais pu autrement.

Il l'a glorifié à sa naissance, en abolissant toute couronne et en élevant la sienne sur le trône de Dieu, son Père ; et il l'a glorifié à nouveau à sa résurrection, en l'asseyant sur le trône du président de la cour de justice de son royaume, avec le pouvoir illimité de prononcer des sentences, à la mesure de Dieu lui-même, y compris l'acquittement universel.

 

Article dix : La loi de l'égalité

 

Tous les citoyens du Royaume des Cieux, en tant qu'enfants de Dieu, quelle que soit leur nation d'origine, jouissent de la même égalité devant la loi.

Tous les citoyens du Royaume de Dieu, sans exception, depuis les princes qui siègent à la droite du Père jusqu'au plus petit de ses enfants, tous les citoyens de la plénitude des nations sont responsables de leurs actes devant la justice, tous sont soumis à la loi universelle de l'égale responsabilité.

 

Article onze : La loi de la liberté

 

Dieu est Seigneur et c'est à LUI qu'appartient le sol où habite la plénitude des nations. Héritier de son Père, participant à tous ses biens, le Roi est Seigneur du sol que foulent toutes les Nations. Les frontières de son Royaume s'étendent autour de la plénitude des nations. Les Citoyens de la Plénitude des Nations de Son Royaume sont libres et jouissent de la liberté de mouvement de ceux qui ont Dieu pour Père et le Roi des Cieux pour Frère.

 

Article douze : La loi de fraternité

 

Tous les biens et toutes les richesses de la plénitude des nations, du sol comme du peuple, appartiennent à Dieu. Tous les Citoyens de Son Royaume, quelle que soit leur Nation, possèdent par naissance le Droit d'usage et de jouissance de tous les biens et de toutes les richesses de l'Univers. C'est Dieu qui multiplie les biens et les richesses de son Royaume, soit par la Nature, soit par ses enfants, en vue du bonheur de la Plénitude des Nations.

 

Article treize : La loi de l'intelligence

 

Dieu crée ses enfants intelligents à son image et à sa ressemblance pour l'enrichissement de la plénitude des nations dans toutes les sciences et technologies. Dieu étant à l'origine de toute connaissance, tous les bienfaits proviennent de son omniscience et sont soumis à la loi de la fraternité éternelle. Car Dieu agit en tous pour l'enrichissement et la croissance de tous dans la Connaissance de toutes choses.

 

Article quatorze : La loi de la paix

 

Les enfants de Dieu ont le Droit de faire en sorte que la Plénitude des Nations ait un accès libre et illimité à la Bibliothèque de la Connaissance Universelle pour la satisfaction et le bonheur de leurs Peuples dans tout ce qui concerne les besoins de structures et d'infrastructures relatives aux Technologies et aux Sciences de la Paix et de la Santé.

La Plénitude des Nations, soit à travers les Fils de Dieu et leurs Fondations de projets privés ou internationaux, soit à travers leur Conseil, a le devoir de fournir tous les moyens financiers et économiques nécessaires pour que cette Norme de Sagesse soit accomplie, et pour que les nations les plus éloignées du Modèle Social de Civilisation puissent s'approcher du centre universel sans souffrir du chemin long et étroit parcouru par les nations qui en composent le noyau.

Aucun monde, aucun système de civilisation ne peut subsister dans le temps et dans l'espace sous réserve d'une différence chronique invincible entre ses nations. L'inégalité invincible par la destruction constante des schémas temporels conduit les Mondes à leur disparition de la face de l'Univers par l'épuisement progressif des ressources naturelles et l'augmentation cyclique des armes de combat chez ceux qui imposent l'inégalité comme moyen de subsistance. Si celui qui sème les vents récolte les tempêtes, que récolteront ceux qui sèment les tempêtes ? Offrir librement et gratuitement à tous les Peuples les fruits de la Civilisation, c'est offrir à toutes les Nations le fruit de l'arbre de vie : la Paix.

 

Article quinze : Le droit de la guerre

 

Le fruit de l'arbre interdit est la Guerre.

La Loi Divine Naturelle établit que l'accès et la participation à la croissance des sciences de l'arbre des Technologies de Défense sont interdits à tous les agents en dehors du Corps des Armées de la Plénitude des Nations.

La Loi Naturelle Divine établit que le fruit de l'arbre des Technologies de Défense est sous l'Administration du Conseil Universel des fils de Dieu, et donc interdit expressément la vente de produits et d'informations sous peine de crime contre la Sécurité de l'Humanité.

Personne ne peut vendre des technologies et des informations à un tiers par l'intermédiaire d'un second tiers sans provoquer des déchirures guerrières dans la Communauté Internationale et des tremblements de terre dictatoriaux dans les pays. Pour l'accomplissement de cette Loi pour la Paix et la Sécurité de l'Humanité, les enfants de Dieu ont le devoir de promouvoir et de construire la formation d'un Conseil des Etats Majeurs comme responsable et garant de l'accomplissement de cette Loi, et la soumission de ce Conseil au Conseil de la Plénitude des Nations du Royaume de Dieu sur Terre.

L'histoire a montré avec des exemples extraordinaires comment les technologies de la défense, entre les mains de groupes privés, deviennent la source de tremblements de terre guerriers qui dévastent le progrès des nations en voie de développement au nom des profits de ce groupe de production, et comment ces groupes sont les ennemis de la paix mondiale à tous les niveaux, car, devant vivre à tout prix de la vente de leurs produits, l'obligation les pousse à créer de nouvelles guerres, en semant la haine entre les nations comme moyen de faire du chiffre d'affaires.

Bien qu'au début Dieu n'ait pas voulu nous introduire par la méthode de l'expérience dans la connaissance de la Science du bien et du mal, une fois provoqué le conflit cosmique dans lequel l'Humanité est encore piégée, Dieu dans son Omniscience a fait en sorte de nous amener à la connaissance de toutes les lois dans les plus brefs délais, même au prix de l'immense tragédie que ce spectacle comporte.

En effet, la connaissance des lois de cette Science est la plateforme à partir de laquelle nous pouvons articuler la structure de l'Avenir sur le Rocher de notre expérience. Sachant que le destin de tout monde soumis aux lois de la Science du bien et du mal est sa disparition apocalyptique, selon les mots de Dieu : son retour à la poussière cosmique, l'expérience se joint à la Science pour poser sur la table les fondements d'une Architecture Biopolitique selon les axiomes et l'esprit de laquelle : le bien de tous par la participation de tous en tous, pour articuler l'Édifice de la Plénitude des Nations.

Dans ce domaine, sans violence mais sans concession, tous les enfants de Dieu ont le devoir d'apporter leur grain, sachant que la carrière d'où nous apportons chacun notre grain a son origine dans notre Créateur. Par conséquent, les technologies de la défense sont au service de la paix et du processus de production : Les technologies de défense sont au service de la paix et le processus de production est soumis à la présente norme de paix et de sécurité.

 

Article 16 : La loi de sécurité

 

Le fruit de l'arbre de vie est la paix.

Les nations ne peuvent être exclues de la Paix à cause des intérêts privés de certains groupes financiers internationaux ; de même, nous, enfants de Dieu, ne pouvons accepter que la jouissance de la Liberté soit soumise aux objectifs de ces groupes de pression, étrangers ou nationaux, dont les buts et les finalités sont la déstabilisation des Gouvernements comme porte d'entrée pour piller les richesses des nations.

Le Conseil universel de l'ensemble des nations ne peut garantir la paix et la liberté internationales sans le pouvoir d'affronter ces groupes, de les soumettre aux lois et de les déclarer hors-la-loi s'ils persistent dans leurs actions contre la sécurité.

C'est dans ce contexte que la Loi naturelle divine prévoit que le Conseil des fils de Dieu a tout pouvoir pour décréter l'expropriation des actifs de toute association financière internationale dont le moyen de profit est la déstabilisation des gouvernements nationaux.

La Loi Naturelle Divine stipule que le Conseil Universel des fils de Dieu a le Pouvoir de décréter la désintégration des associations financières internationales opérant sous une loi de légalité impériale, sans cours légal dans ce Nouvel Age, et de traduire devant la Cour Internationale de Justice leurs patrons et collaborateurs locaux, tête et queue.

L'intervention dans l'économie d'une nation par un groupe d'intérêts, physiques ou juridiques, extérieurs à l'organe législatif de la nation concernée implique son invasion par un État sans État, dont l'activité, bien que masquée par la légitimité d'opérations financières, vise une activité terroriste internationale, à savoir la déstabilisation du gouvernement d'un peuple pour les intérêts du groupe financier envahisseur.

Ainsi, toute intervention d'un groupe d'intérêt financier contre la légalité d'un gouvernement régi par l'État de droit est une atteinte à la sécurité, dont la nation et l'État qui soutiennent les intérêts de ce groupe en mettant à sa disposition ses ressources nationales, qu'elles soient militaires ou logistiques, sont responsables et en subissent les conséquences, comme nous l'avons vu ces derniers temps.

On comprend dès lors que tout groupe financier qui agit dans l'économie d'une nation pour déstabiliser son gouvernement à partir de la liberté internationale perd tous ses droits internationaux à partir du moment où il utilise la liberté comme moyen d'appauvrir le peuple, et l'appauvrissement comme moyen de déstabiliser la paix.

L'Histoire des Nations a déjà montré avec de nombreux exemples comment le terrorisme de tels groupes financiers sur un Gouvernement légitimement établi conduit les Peuples vers les profondeurs des enfers auxquels leurs victimes n'avaient pas du tout tracé un tel destin.

L'avenir de l'Humanité et d'un Royaume qui regarde vers un Horizon qui ne finit pas : il ne peut s'offrir que la joie et le bonheur d'avancer sous un ciel sans nuage à partir du Pouvoir d'un Conseil Mondial pour la défense de la légitimité des Gouvernements des Peuples.

 

Article dix-sept : La loi du pain

 

La propriété de toutes les choses de l'Univers, du Ciel comme de la Terre, appartient à Dieu, leur Créateur.

Toutes les créatures sont nourries par notre Créateur à travers sa Création. Toute limitation de la production ou destruction des biens de la terre agricole pour des intérêts privés ou communautaires est un crime contre l'Humanité.

Aucune raison ne justifie la famine des nations du monde au nom d'un marché qui impose la destruction de millions de tonnes par an de produits essentiels à la vie et à la croissance saine et joyeuse des nations. La capacité de ce marché et des communautés à ordonner la destruction et à limiter la productivité de la terre pour produire de la nourriture est un crime contre l'humanité.

Nous, enfants de Dieu, avons le droit d'abolir cette capacité criminelle du marché à affamer des multitudes entières au nom du concept criminel de stabilité des prix. Aucun prix ne justifie le meurtre de masse des peuples de l'Humanité.

Il est du devoir des enfants de Dieu d'abolir ce système de Quotas de production et de libérer la terre des chaînes que lui imposent les intérêts des dirigeants de tous les temps.

 

Article dix-huit : Le droit du sol

 

La propriété légale de la terre appartient à Dieu qui l'a créée pour nourrir toutes ses créatures avec les fruits de la terre.

Ce droit divin établit pour le Conseil de l'ensemble des nations de son Royaume un pouvoir illimité pour la distribution des fruits de la terre entre les peuples de son Royaume à l'heure de la nécessité. En cette Heure, tous les excédents stockés et toutes les récoltes dans leurs fruits seront à la disposition du Conseil des fils de Dieu pour soulager les besoins des peuples frères.

 

Article dix-neuf : La loi de la propriété

 

Tous les êtres humains sont frères en Dieu, notre Créateur.

Notre Créateur et Père a ordonné que la capacité de la terre à nourrir ses enfants soit illimitée. Mais les guerres entre ceux qui se sont rebellés, dans leur ignorance, contre cette disposition divine selon laquelle toutes les ressources sont la propriété de tous les hommes et font l'objet d'une distribution internationale en fonction des besoins, ces guerres, comme la marée emporte les écrits sur la plage, ont défait ce que Dieu a fait et ont donné le droit de propriété de la terre à la créature, déshéritant le Créateur de sa Création.

A l'origine de cette folie des famines qui ont dévoré des multitudes entières sous nos yeux, après avoir assisté impuissants au spectacle inhumain de la destruction des excédents alimentaires, par le feu et les quotas, la Loi naturelle divine prévoit que l'abandon de la terre arable par ses propriétaires temporaires implique la restitution à ce Droit de Création du titre de propriété, qui sera accordé librement et gratuitement à celui qui donne à la terre ce que la terre veut, et par cette satisfaction l'homme satisfait le Besoin de son propre être humain et de tous les autres êtres humains.

 

Article 20 : Le droit de l'humanité

 

La propriété légale de la terre arable, dont dépend la vie de ses enfants, appartient inaliénablement à Dieu. La propriété temporelle est dévolue à celui qui la cultive, et il est ordonné par la Loi naturelle divine qu'elle reste dans sa famille aussi longtemps qu'il y aura des mains pour la travailler.

Comme elle appartient en usufruit au cultivateur, la terre ne peut être ni vendue ni achetée, mais à la fin du travail, en raison de l'absence des mains de la famille, la terre reviendra à son Créateur, et quiconque continue à donner à la terre ce que la terre demande, les mains de l'homme, entrera dans la terre. C'est de ce travail, et non de la technologie et des sciences du loisir, que dépend la vie de l'humanité.

C'est pourquoi, lorsque Dieu créa l'homme et que, parmi eux, il alla choisir celui qui serait le plus grand, il prit pour lui un maraîcher, un paysan, un agriculteur, un laboureur. Héritier de son Père, toutes choses appartenant à son Père, en héritant de la propriété de la Terre, son Père la préserva du pillage et de l'esclavage auxquels, contre sa volonté, la Terre fut alors soumise, et celle qui avait été créée avec des capacités illimitées se trouva dans la contradiction de voir ses enfants mourir de faim.

Cette Propriété revient donc aux mains de l'Humanité, dont le Chef fut Adam, et au présent Jésus-Christ, Propriétaire légitime et Seigneur de toutes choses, du Ciel comme de la Terre.

 

Article vingt et un : La loi de l'avenir

 

La Loi Divine Naturelle déclare que les mains qui ont exproprié le Seigneur de sa Création en réduisant les enfants de la terre à l'esclavage n'ont aucun droit sur la terre. Ce sont des mains criminelles.

L'histoire universelle est longue en exemples sans nom et généreuse en leçons sans titre. Le terratenientism est un crime contre l'humanité dont le fruit s'est révélé être l'ignorance, la misère et la guerre civile.

La terre appartient à ceux qui l'habitent et y vivent, faisant vivre l'humanité avec le fruit de leur travail, à commencer par eux-mêmes et leurs maisons.

Les enfants de Dieu ont le droit d'abolir cette forme de criminalité, héritée du passé, par laquelle les enfants de la terre ont été aliénés des moyens que le Créateur leur a donnés pour vivre et pour participer à la société en produisant les fruits de la terre, sans lesquels l'humanité ne peut pas vivre.

L'abolition de cette forme criminelle d'administration des terres sera abolie par la Plénitude des Nations du Royaume. Comme elle est abolie au Ciel, elle l'est aussi sur la Terre.

 

Article vingt-deux : La loi de la santé

 

Nous, enfants de Dieu, avons le Droit de déclarer crime contre l'Humanité la garde et la protection de toutes les portes qui interdisent l'accès de tous les peuples du Royaume de Dieu aux technologies de la Santé, physique et mentale, des êtres humains, dont la garde et la protection, au nom de quelque système et légalité que ce soit, est la condamnation à mort de multitudes de créatures.

Il est du devoir des enfants de Dieu de doter le Conseil de l'ensemble des Nations d'un Comité d'urgence doté de tout pouvoir sur les entreprises publiques et privées des Nations du Royaume de Dieu engagées dans la production médicale, sous toutes ses formes, en vue de la distribution libre et gratuite de leurs produits parmi les nations pauvres en fonction des besoins.

Les médicaments sont l'arme avec laquelle l'être humain lutte pour sa vie contre la Mort. S'il en est privé, il est jeté dans le cirque des lions pour être donné en pâture aux fauves.

Mais le Créateur a mis toutes les ressources de sa Création entre les mains de ses enfants pour la victoire de ses créatures.

 

Article vingt-trois : La loi de la sagesse

 

Les enfants de Dieu ont le Droit de financer et d'articuler tous les efforts des sages de la Plénitude des Nations, en libérant la Science de la science, la Science de la Santé, de tous les intérêts privés, étatiques et individuels, en créant une Communauté Scientifique rassemblée et consacrée dans la vie à la Victoire de l'Humanité contre toutes les maladies, héréditaires et séculaires, qui ont parasité l'être humain depuis l'époque de la Chute d'Adam.

Les fruits de cette Communauté seront le Patrimoine de l'Humanité et remis entre les mains des Nations, librement et gratuitement, pour la joie de tous les êtres humains.  

 

Article vingt-quatre : La loi de vérité

 

Tous les enfants de Dieu, sans exception, sont responsables de leurs actes criminels contre leurs semblables devant la Justice.

Nous, enfants de Dieu, avons le Droit de libérer la Justice de toute forme de soumission au Pouvoir politique et religieux afin que les principes de la Vérité, parmi lesquels l'Égalité de toutes les créatures aux yeux de la Justice divine de notre Créateur est le Rocher sur lequel Son Royaume s'élève pour l'éternité, puissent s'accomplir à partir de la Liberté.

Et nous avons le Devoir de doter la Justice de tout le Pouvoir Juridictionnel pour faire appliquer cette Loi à tous les Citoyens sans exception.

Toute déviation de ce Principe Éternel et toute exception à cette Règle Divine est une porte menant au terrorisme de la Science du bien et du mal, dont les feux et les horreurs nous rassasient à vomir et nous enivrent de colère.

 

Article vingt-cinq : La bataille finale

 

Dans Son Omniscience d'articuler Sa Civilisation en vue de la vie éternelle, Dieu a établi que Son Royaume aura pour pilier principal de son Édification un Organe Judiciaire doté d'un Pouvoir Législatif illimité pour combattre le crime, la délinquance, le terrorisme... Le Mal sous toutes ses formes.

Ayant élevé à la tête de ce Corps Son Fils, notre Roi éternel, nous, enfants de Dieu, avons le Devoir d'articuler le Corps de Justice de notre Civilisation à l'image et à la ressemblance du modèle divin, dont le Principe est la Vérité et la Finalité la Paix.

L'armée des juges étant l'avant-garde de choc dans la bataille de l'humanité contre le crime, sous toutes ses formes, il incombe au corps judiciaire de légiférer toutes les mesures sans lesquelles la bataille est perdue, et par l'application desquelles la victoire est nôtre.

Il est de notre devoir d'abolir ce pouvoir du corps politique d'aliéner le pouvoir judiciaire du pouvoir législatif anti-crime sans lequel la bataille contre le crime organisé, national et international, se développe et étend ses tentacules jusqu'au noyau dur des gouvernements démocratiques.

 

Article vingt-six : Le modèle divin

 

Dans sa lutte pour nous conduire des ténèbres à la lumière de la Vérité, Dieu a voulu que notre Civilisation contienne dans son corps la semence des valeurs que Sa Civilisation contient dans des arbres matures dont les fruits, la Paix, la Plénitude des Nations de Son Royaume sont nourris.

Il est de notre droit d'articuler notre Civilisation à l'image et à la ressemblance du Divin.

Il est donc du devoir des enfants de Dieu de la Plénitude des Nations de signer la Charte d'adhésion à la Cour Pénale Internationale et de doter son organe des pleins pouvoirs exécutifs pour que ses mandats d'arrêt contre les personnes reconnues coupables de crimes contre l'Humanité soient remis sans aucune disposition contraire de la part des Gouvernements auxquels le mandat d'arrêt et de remise est adressé.

Tout refus d'un gouvernement de se soumettre à la justice internationale sera considéré comme une rébellion contre l'Humanité et ce gouvernement sera soumis à une enquête pour complicité dans les crimes contre l'Humanité perpétrés par le sujet contre lequel le Tribunal a signé un mandat d'arrêt et de reddition. 

 

Article 27 : Défense et liberté

 

Dans la lutte commune Créateur-Créature, Dieu-Homme, contre les systèmes et les maux hérités du Passé et naturels à la Science du bien et du mal, et en vue de fermer la voie de l'Avenir à ces systèmes et organisations criminels qui, sous la bannière d'idéologies et de religions, s'élèvent au pouvoir pour dévaster leur propre peuple et les peuples voisins du Pouvoir, les enfants de Dieu de la Plénitude des Nations ont le Devoir de fonder une Cour d'Appel Universelle devant la Table de laquelle les peuples, victimes de ces monstres, pourront demander la Défense et la Liberté.

La Cour d'Appel Universelle plaidera la cause devant le Tribunal Pénal International et devant le Conseil de l'ensemble des Nations, en se mobilisant pour la Liberté et la Défense des peuples pris dans les rouages de la Tyrannie.

Le Tribunal émettra un mandat d'arrêt international et le Conseil mettra en place les forces de capture nécessaires.

Tous les gouvernements de l'ensemble des nations collaboreront avec le Tribunal pour la défense des peuples en mettant à sa disposition tous les moyens nécessaires au développement de la victoire de tous contre les tyrans et les dictateurs qui se nourrissent de chair humaine et s'abreuvent de sang humain.

Le Conseil livrera ces monstres au Tribunal pour qu'ils soient jugés pour leurs crimes contre l'Humanité.

 

Article vingt-huit : La loi de la vie

 

La Loi Divine Naturelle établit que les étrangers qui fuient les guerres civiles, qui ont faim et soif de Justice et de Liberté, et qui craignent pour leur vie en pèlerinant vers une terre de promesse à la recherche de la nature humaine qui leur a été refusée dans leurs lieux d'origine, soient accueillis comme des frères et vivent sous la protection de la Loi, établissant comme crime contre l'Humanité toute forme d'esclavage par ceux qui manipulent leur situation pour s'enrichir, que ce soit par le salaire ou par la prostitution.

Fondant sa Création sur un Nouveau Rocher contre les atomes duquel se désintègre toute possibilité de repousse de la Science du bien et du mal dans l'Univers, Dieu a maudit l'esclavage et a décrété une peine de bannissement de son Royaume contre le propriétaire de l'esclave.

Il est donc établi par la Loi naturelle divine que nous, enfants de Dieu, avons le devoir de soumettre toutes choses à la Loi de l'égalité, de sorte que deux personnes faisant la même chose ne puissent recevoir l'une la misère, parce qu'elle est étrangère, et l'autre la gloire, parce qu'elle est un fils du pays.

L'étranger comme l'indigène, nous sommes tous enfants de la même Terre, nous avons tous droit au même salaire pour le même travail.  

 

Article vingt-neuf : La loi de miséricorde

 

Il n'y a qu'une seule sorte de miséricorde : "J'ai eu faim et vous m'avez donné à manger, j'ai eu soif et vous m'avez donné à boire, j'étais nu et vous m'avez vêtu, j'étais malade et vous m'avez guéri, j'étais en prison et vous m'avez libéré".

Lorsqu'il est possible de l'empêcher et que le Christ peut mourir dans l'homme, la loi naturelle divine prévoit que le sang de l'innocent retombe à la fois sur la tête de celui qui l'encourage et sur la tête de celui qui le permet.

Nous, les enfants de Dieu, avons le droit de franchir les frontières et de passer par-dessus les têtes des gouvernements dont la politique meurtrière est la signature de la condamnation à mort de centaines de milliers de créatures, victimes de la folie de leurs gouvernements, folie alimentée par les intérêts financiers des monstres internationaux qui trouvent dans la guerre civile contrôlée une source de profit et de pouvoir.

L'inactivité de celui qui regarde le crime se produire et celle de celui qui l'a encouragé sont les deux faces d'une même pièce, toutes deux punies par la même sentence : Allez en enfer et grincez des dents.

La miséricorde, en effet, ne se dispute pas avec la justice, mais la justice se dispute avec la dureté du cœur.

Il était une fois un autre roi qui, ayant combattu l'ennemi avec un nombre de soldats bien inférieur à l'heure de la victoire, se retrouva avec des milliers de vaincus et de blessés. Sa décision solennelle fut de les tuer tous afin de ne pas avoir à les nourrir ou à les soigner. Il était roi et il était chrétien, il était le roi des Anglais.

La mémoire de Dieu est infinie et éternelle, quand il s'agit de donner, il rendra avec miséricorde, au chrétien comme au non-chrétien, offrant la miséricorde à ceux qui ont eu pitié de leur prochain, ami ou ennemi, connu ou inconnu, et avec la justice, chrétienne ou non, à ceux qui ont marché sur la justice.

Car celui qui croit qu'en confessant que Jésus est Seigneur il est déjà sauvé, malheur à lui quand le Fils de l'Homme se lèvera pour juger selon la Loi et non selon l'Espérance, ce jour-là on verra que Dieu juge chacun selon ses œuvres et non selon les masses ou les alléluias chantés un matin de gloire au Seigneur qui nous pardonne tous nos crimes.

La miséricorde est pour celui qui la donne, pas pour celui qui la garde. Mais si nous n'aimons pas l'étranger qui se trouve parmi nous et que nous l'asservissons sans pitié aux yeux de tous, en retenant son salaire, comment nous soucierons-nous de celui qui meurt dans un camp de réfugiés à des milliers de kilomètres de là ?

Si nous ne nous soucions pas de celui qui est en prison au coin de la rue, comment nous soucierons-nous de celui qui meurt dans la prison d'un tyran pour l'amour de la liberté ?

Celui qui a le pouvoir et ne fait rien est aussi coupable que celui qui ne lui arrache pas ce pouvoir pour le remettre à un autre qui fera ce qui doit être fait.

La foi sans les œuvres est un suicide, et tuer le Christ au nom de la foi est un crime.

Quel châtiment méritera celui qui tue l'homme que Dieu a créé à son image et à sa ressemblance, qui est en nous et qui nous a engendrés au prix de la crucifixion de son Fils ?

 

Article trente : Le jour de Yahvé

 

Toutes les Nations ont été abandonnées entre les mains d'une génération d'enfants de Dieu, tous méchants, rebelles à leur Père, contre lequel ils se sont soulevés et dont ils ont déclaré la guerre au Royaume, préférant l'éternité du Bannissement à un jour de plus dans un Univers régi par une Justice qui ne fait pas de différence entre le serviteur et le fils, entre le prince et le citoyen, établissant avant tout l'Égalité Éternelle.

Dieu ne croyant pas que la créature ait osé défier son Créateur par la politique du fait accompli, le cœur transpercé par la lance de la Trahison, Dieu, Indestructible, ouvrit les yeux et, se levant, dans sa douleur éleva sa Voix et mettant sa tête pour témoin jura d'écraser son ennemi, en disant :

 

Je lève la main vers le Ciel

et je jure par ma vie éternelle :

Quand j'aiguiserai la foudre de mon épée

et que je prendrai le jugement entre mes mains,

je vengerai mes ennemis par la vengeance

et je me vengerai de ceux qui me haïssent,

Je rendrai mes flèches ivres de sang

et mon épée sera remplie de chair,

du sang des morts

et des captifs, des têtes

des têtes des chefs ennemis.

 

Joie au Ciel, douleur sur la Terre. Joie en haut parce que Dieu a relevé le gant et qu'avec ce même gant, gardant désormais une poigne de fer, il a relevé le défi ; tristesse en bas parce que la bataille finale se déroulera sur Terre. Mais la joie après la souffrance :

 

Réjouis-toi, ô peuple, pour son peuple,

car il a vengé le sang

de ses serviteurs, il l'a vengé

de ses ennemis, et il fera l'expiation

pour le pays et pour son peuple.

 

Si la douleur était infinie, l'espérance serait éternelle, et en elle la victoire, ferme :

 

Tes descendants s'empareront

les portes de leurs ennemis.

 

Réduits en esclavage, les enfants d'Abraham, dans leurs chaînes, Dieu découvrit que ce n'était pas vers Isaac qu'il regardait, mais vers le Christ.

 

Article 31 : Le droit à la vérité

 

L'argument suprême sur lequel un témoin peut établir devant un tribunal la véracité de son témoignage est sa vie, son sang. Sur son propre sang, le Christ a établi, d'une part, l'Innocence de Dieu quant à toute participation, active ou passive, à la Mort d'Adam et, d'autre part, l'Ignorance d'Adam quant aux intentions criminelles de l'ange rebelle par excellence, le dénommé Satan, tête du Serpent.

C'est parce qu'il y avait ignorance que Dieu a ouvert la porte de la rédemption, du sacrifice expiatoire pour le péché.

La loi d'expiation - pour le péché du peuple et de son prince - exigeait comme condition sine qua non l'ignorance du transgresseur.

La corruption du judaïsme et la rupture de l'alliance entre Dieu et les enfants d'Abraham selon la chair se sont produites lorsque le sacrifice est devenu démonisme, le transgresseur ayant d'abord payé le prix du crime avant de le commettre, démonisme sauvage et monstrueux établi par la coutume sacrée que Dieu nous a révélée dans le cas de Judas l'Iscariote.

C'est pourquoi Dieu ne pouvait pas pardonner aux Juifs leur crime, même si son Fils le lui demandait du haut de la Croix, parce que commis avec préméditation, en pervertissant l'Alliance de Moïse et en transformant la Loi en Temple du Péché, l'expiation ne pouvait pas avoir lieu, et sans expiation, il ne pouvait pas y avoir de pardon.

Avec cette transformation du sacerdoce aaronite en un business, le crime vaut tellement cher que je le paie et je continue à le commettre avec le pardon en poche, le judaïsme, dans son ignorance, a fait une défense de l'enfer et de son idéologie, la même qui, en Eden, a mis en pratique sa philosophie diabolique sous la présupposition du pardon divin sur la base de la paternité du Juge du Ciel sur le criminel.

Fils de Dieu, parce qu'il était fils de Dieu, il devait être autorisé à commettre tous les crimes et délits, donc au nom de Dieu, ici je te poignarde et ici je te maudis.

Les Juifs, ayant un prix pour le crime et oubliant la condition sacrée du pardon, l'ignorance, ont fait du Temple un commerce lucratif lorsque les prêtres eux-mêmes déposaient à l'avance des pièces d'argent dans le trésor contre le crime qu'ils allaient commettre, qu'il s'agisse d'adultère, de vol, de meurtre, de faux témoignage, etc.

Philosophie maléfique dans laquelle l'Église romaine est tombée et dont l'Église catholique a été sauvée par l'Église allemande à l'époque de Luther, lorsque, dans son ignorance, l'Église catholique a été entraînée par l'Église italienne dans la transformation du péché en un commerce lucratif, appelons cela "le scandale des indulgences".

Dieu s'est rebellé contre la Philosophie de l'Enfer. Ni défendu par l'un de ses fils, Satan, ni défendu par l'un de ses serviteurs, Aaron, il n'accepterait jamais la transformation de sa Couronne en cour païenne d'un dieu des dieux dont la santé des princes de son Royaume pouvait compter sur sa bénédiction lorsqu'il s'agissait de tuer le temps en jouant avec des vies humaines en tant que diables et anges, policiers et voleurs, méchants et gentils, héros et monstres.

Dieu a levé la main vers le ciel contre l'un de ses fils, Satan, qui a osé emmener son plus jeune fils, Adam, sur la croix, et ne lèverait-il pas le poing contre un serviteur, Aaron, qui a osé clouer son fils premier-né sur la croix ?

Et puisqu'il n'y a pas trois sans deux, qu'est-ce qui a fait croire à l'Église que son évêque et sa cour de cardinaux seraient autorisés par Dieu à faire ce qu'il n'aurait pas permis à son serviteur ou à son fils, à savoir remplir sa coupe du sang de leurs crimes ? 

 

Article trente-deux : Le droit à la miséricorde

 

Juifs et Romains ont tous été pris dans la même ignorance.

Le voile qui empêchait les Juifs de voir Dieu s'étendait sur les chrétiens et les païens. Ceux qui l'ont vu l'ont aimé d'une force plus puissante que la mort. Mais lorsque ceux qui lui succédèrent disparurent, ils vécurent par la Foi, et les paroles prophétiques de ceux qui avaient vu Dieu restèrent parmi eux comme des flambeaux dans les ténèbres.

Or la Foi, sans la parfaite connaissance du Fils de Dieu, est corrompue. Une affirmation que les Apôtres ont pris soin d'établir dans leurs Epîtres et que les siècles suivants ont pris soin de démontrer, "le scandale des indulgences" étant la tête de l'iceberg.

Miséricorde donc à tous, juifs et romains, chrétiens et païens, car dans son Omniscience Dieu avait établi que le voile de la Connaissance parfaite de la Divinité ne tomberait pas des yeux de sa créature humaine tant que ne serait pas né le rejeton du Christ, ce rejeton né pour conquérir et vaincre les portes des ennemis de son Père du Ciel, son Roi.

 

Article trente-trois : Le droit à la paix

 

Toutes les armées du Royaume de Dieu sont sous le commandement du Roi des Cieux, Chef Suprême du Conseil des fils de Dieu, à la Voix duquel et à la Voix duquel seul se meuvent les armées de l'Alliance de la Plénitude des Nations de l'Univers.

Comme au Ciel sur la Terre, nous, fils de Dieu, avons le devoir de séparer les gouvernements politiques des nations membres du Conseil de l'ensemble des nations, dans les membres duquel réside le pouvoir de la guerre et de la paix, et au corps duquel et au Conseil duquel seul les armées de l'Alliance de l'ensemble des nations doivent obéissance.

La paix étant le bien suprême par excellence de la Création, Dieu a ordonné que ce Pouvoir ne réside que dans la Couronne de son Fils, Chef suprême du Conseil de l'Alliance de l'ensemble des Nations de son Royaume.

Le Conseil des fils de Dieu et le Conseil des chefs d'état-major des armées de l'Alliance de l'ensemble des nations du Royaume de Dieu font partie, comme tête et comme bras, du même Corps, et seul ce Corps, dont la Tête est le Roi, Jésus-Christ, a le Pouvoir de la Guerre et de la Paix.

 

Article trente-quatre : La Loi du Roi

 

L'expérience est la mère de la science. Mais la Science, au service de l'homme en tant qu'animal politique, devient une arme de destruction entre les mains d'une bête, humaine en apparence, née de l'homme mais inhumaine, qui n'a qu'un seul but : imposer son enfer au monde : Imposer son enfer au monde.

C'est sur cette loi de la science que Dieu a établi le noyau dur de son royaume, en interdisant l'accès aux technologies de défense à tout gouvernement n'appartenant pas à l'Alliance de ses armées.

Les lois qui suivent, l'interdiction de la vente d'informations et de matériel en dehors de l'Alliance du Roi, et l'acquisition de la propriété des industries de défense, à transformer en Patrimoine Universel de la Paix, soumis au Conseil des fils de Dieu, sont basées sur la nécessité d'établir les piliers de Son Royaume en accord avec les dimensions infinies et éternelles de la Création.

Dieu ayant appris par expérience que la soumission des armées nationales et internationales à la volonté temporelle et aux intérêts passagers des gouvernements politiques est à l'origine des guerres, Il a mis sur la table une Nouvelle Alliance par laquelle tous les gouvernements remettent leurs armées entre Ses Mains.

Anticipant cette Révolution Universelle Sempiternelle, Il s'est présenté à nous dans son Livre comme le YAVE des armées. Que l'homme signe ou refuse de remettre entre les mains de son Créateur ce qui lui appartient par droit de création, c'est une autre affaire.

Satan a refusé de signer l'Alliance que Dieu et son Fils ont mise sous nos yeux, à tous les hommes et aux non hommes, selon laquelle Yahvé des armées est le Dieu de tous et son Fils, Jésus, le Roi universel et éternel de la Création.

Unique et Premier-né, le Bras de Yahvé, le Roi de Ses armées, Jésus, notre Jésus-Christ, Origine de notre Lumière, Notre Maître et Sauveur, Seigneur et Roi, les deux conditions que l'Infini et l'Eternité mettent sur la table pour la croissance et la perpétuation d'une Civilisation dans l'espace et le temps, l'Universalité et la Sempiternité, ces deux conditions remplies dans la Nature de Son Fils, soumettant tout Pouvoir à Sa Couronne : Son Père a établi la Loi du Roi contre la volonté temporaire et les intérêts passagers des Gouvernements nationaux et internationaux à l'origine des guerres, civiles et mondiales, dont toute la création a souffert jusqu'à nos jours.

Par cette Loi, quiconque ne signe pas la Nouvelle Alliance sur laquelle Dieu a recréé son Royaume signe contre sa tête, qu'il soit fils ou serviteur de Dieu, la peine du bannissement de la Création. 

 

Article trente-cinq : La loi de civilisation

 

Qu'aucun homme ou groupe d'hommes ne soit persécuté pour son idéal de justice. C'est pourquoi il est du devoir des enfants de Dieu d'abolir tout pouvoir de l'État de tenter, de réprimer, de diaboliser ou de contrôler les forces que l'image divine dans l'homme met en mouvement pour secouer la société de l'inertie naturelle à toute étape suivant une grande victoire.

Tout mouvement de l'Etat au-delà de ses fonctions administratives est un crime contre la Société.

La société est née libre et a été dotée par son Créateur de toutes les forces nécessaires pour pouvoir, sans la violence de l'Etat, franchir par elle-même les frontières derrière lesquelles se trouve la terre promise de la Vérité, de la Justice et de la Paix.

Cette idée de justice ne peut être abandonnée parce qu'elle est divine, et toute action de l'État contre elle, comme l'histoire l'a déjà montré, est l'objet d'une ruine.

Par conséquent, nous, enfants de Dieu, avons le devoir de couper tous les fils par lesquels l'État s'arme pour combattre la Justice Divine qui se découvre dans ceux dont l'Image est plus forte que leur propre vie.

De même qu'en son temps la Séparation Etat-Eglise s'est révélée être un des piliers de la Civilisation, de même la Séparation Etat-Armée est, au vu des faits, une Nécessité de Justice : révolutionnaire et irréversible, c'est-à-dire Divine.

 

Article trente-six : La loi de justice

 

Que tout prêtre qui fait l'apologie du crime en ordonnant l'emprisonnement ou la mort contre ceux dont les idées sont en désaccord avec les siennes, soit traduit devant la justice humaine pour répondre de son crime d'incitation au crime.

Il est du devoir des enfants de Dieu d'expulser de l'Église de notre Père tous les serviteurs qui, contre l'esprit de la justice divine, s'érigent en inquisiteurs et en bourreaux, directement ou indirectement, de ceux qui, selon leur intelligence, se sont égarés dans la voie.

La Parole d'intelligence et de sagesse est la seule arme que le Christ a brandie contre ceux qui voulaient le crucifier, et c'est elle, la Parole, qui est la seule arme dont nous avons hérité, enfants et serviteurs de Dieu.

C'est pourquoi l'Écriture dit qu'au commencement, Dieu créa l'homme nu. Mais ceux qui se sont armés pour combattre la parole de l'homme par le feu ne sont pas de Dieu, même s'ils sont entrés dans la Maison de Dieu et que, par ses moyens, ils se sont hissés au sommet de l'échelle de ses serviteurs, ils n'ont jamais été de Dieu.

 

CONCLUSIONS FINALES

 

Lorsque Dieu a créé l'homme, il a projeté sur nous la nature sociale de son être.

Social par nature, Dieu a voulu continuer à nous rapprocher de sa nature en projetant sur notre être l'intelligence de son être.

Intelligent par nature, Dieu a voulu nous rapprocher encore plus de son Être en projetant sur notre être sa Paternité.

Enfin, nous aimant de toutes ses forces et voyant que nous ne trouvions pas le modèle divin, il nous a envoyé son Fils premier-né pour que nous retrouvions dans sa nature la nature de Fils qui nous a été donnée au commencement.

Fils de Dieu, qu'ils soient de la descendance d'Abraham, par la chair ou par l'esprit, ou de la descendance du Christ, notre nature intelligente nous place devant le fait de la Société du Royaume en laquelle Dieu a transformé sa relation avec sa Création. C'est à partir de là que nous comprenons ce qui a été dit dans la Déclaration de principes, à savoir que la liberté et l'amour sont les deux piliers éternels sur lesquels Dieu a érigé l'édifice de cette société Créateur-Créature.

Et cela nous met face à la situation dans laquelle notre Dieu s'est trouvé lorsqu'il a dû sortir du conflit cosmique dans lequel une partie de ses enfants l'avait forcé à tomber. L'Ancien Modèle antérieur à la Chute, ayant entraîné cette situation, devait disparaître et être remplacé par un Nouveau, fondé sur un Rocher Immuable dont l'horizon était ouvert sur l'Infini et dont le corps social était immunisé contre toute tentative de Guerre pour l'Eternité.

Face à cette Situation de Révolution, Dieu dut prendre les mesures nécessaires dans la matrice de Sa Victoire en plaçant en premier lieu la Fondation de ce Nouveau Modèle Social, à la Naissance duquel tout le reste devait être subordonné, même le Genre Humain, même la Douleur de Son Fils s'il le fallait.

La nécessité imposa sa loi. L'humanité devait continuer à subir les coups du fouet de la guerre civile perpétuelle jusqu'à ce que soit définitivement configurée la Nouvelle Structure que sa Création devait recevoir. Avec toute la douleur de son coeur, il devait en être ainsi. La nécessité lui imposait de boire le calice de la Passion de son Fils unique.

Cette même Nécessité devait atteindre son but et, souffrant la douleur passagère des siècles à venir, avec toute la création plaçant son attente dans le bien que l'avenir nous réservait à tous, remplir la Coupe de Dieu avec les larmes que la douleur de deux mille ans allait Lui servir en abondance. Qui d'autre que LUI, Dieu de l'Eternité et de l'Infini, le Bien-Aimé de la Sagesse incréée et créatrice, pouvait renverser la vapeur et convertir la Tragédie de l'Humanité en une Epopée à la fin heureuse ?

Son âme soulagée par l'obéissance de son Fils qui, au prix de son sang, nous a tous engendrés, il a remis nos vies entre ses mains, déposant dans son jugement l'espoir d'un salut universel dans lequel la création tout entière, le sachant, a trouvé le soulagement que les larmes de notre tragédie apporteraient à son cœur.

Un Royaume universel et éternel, composé de nombreux mondes, chacun ayant son origine dans des temps et des étoiles différents, grandissant sans limite, étendant sans fin ses frontières et ses nations.

Une Église universelle et éternelle, à l'image et à la ressemblance de son Seigneur, dépositaire des vérités éternelles pour la joie de toutes les nations et la gloire de notre Roi.

Un seul peuple, humain, composé de nombreuses nations, nation parmi les nations, chacune étant un monde, toutes unies au même tronc, la Couronne de Dieu, comme les branches au même arbre, l'Arbre de Vie.